(:><:)oussama(:><:)
Résumé de l'oevre
le résumé :
Le livre est l'histoire d'un homme qui a été condamné a mort et, alors, il se propose d'écrire ce qu'il vit pendant ses dernières semaines de vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort.
Cet homme nous dit tout ce qu'il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillottine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent.
Il continue à espérer dans la grâce qu'il n'aura jamais.
Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il nous dit qu'il a été content parce qu'il a pu la voir, mais il n'est pas content parce qu'elle ne l'a pas reconnu. Il nous décrit quelque aspect de son passé : une rencontre avec une jeune fille; il décrit des monuments qu'il a vus.
Il cesse d'écrire quand le moment de l'exécution est arrivée : "Quatre heures". Le livre est séparé en trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie qui sont elles-mêmes séparées en trois parties : Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ; la Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ; enfin l'Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève où est installé l'échafaud.
LANGAGE :
L'auteur utilise un langage simple ; mais aussi très particulier. Il utilise beaucoup les antithèses, par exemple la mort et la vie, la captivité et la liberté, l'argot et les mots littéraires, le condamné et le roi ; puis il utilise l'anaphore,..... pour rendre plus fort le cri d'horreur du condamné.Il écrit aussi plusieurs fois le "condamné à mort". Dans l'ensemble de l'ouvrage, il y a le monologue du condamné.
Thèmes
Si l'être humain a peur de la mort, il peut tout de même vivre sans trop y penser. Au contraire l'existence du condamné à mort est caractérisée presque exclusivement par cette idée, cette obsession qui devient angoissante.
- La haine : pour la foule et la haine pour le condamné : Le condamné déteste la foule et il craint ce que la foule peut penser de lui. Pour le condamné ne doit pas craindre seulement la mort, mais aussi la foule qui attend avec fièvre et joie de voir mourir un condamné a mort. La foule aussi hait le condamné pour ce qu'il a fait, mais il y a dans la foule beaucoup de gens qui ne connaissent pas le condamné, mais qui pour être comme les autres, comme la société, détestent le condamné et veulent le voir tué.
- La religion : Pour le condamné il est très important de pouvoir "parler" avec Dieu avant de mourir. Le condamné, comme tous les autres hommes, possède une âme( cf. grande importance attribuée à la religion chrétienne dans toute l'oeuvre de V. Hugo). Il recherche un dialogue avec le prêtre pour pouvoir mieux affronter la mort, avec plus de courage. Mais le prêtre se montre très détaché. Quand il va mourir il embrasse le crucifix que le prêtre lui tend.
- Violence contre les prisonniers : 1) Violence de la vie de la prison, surtout pour le condamné à mort qui est souvent isolé des autres prisonniers, même si on l'autorise à aller à la promenade avec les autres une fois par semaine et si on lui fournit de quoi écrire ses mémoires ; 2) Violence faite aux forçats qui doivent aller au bagne de Toulon : épisode du ferrage des forçats que le protagoniste peut observer d'une cellule, mais qui se termine par l'évanouissement du protagoniste : le spectateur de la scène devient la victime de la violence verbale des forçats qui ont noté sa présence.
- Injustice de la justice : violence faite au prisonnier et à sa famille : sa mère qui a 64 ans mourra, sa femme mourra ou deviendra folle et sa fille l'oubliera (vivra sans parents) ou aura honte de lui.
OBJECTIF : Celivre est défini par le protagoniste comme le "journal de mes souffrances heure par heure, minute par minute, supplice par supplice" ou comme une "espèce d'autopsie intellectuelle d'un condamné àmort" ou encore comme des "mémoires, dernières confidences d'un misérable" (chap. VI).
Par le biais de son protagoniste, qui devient en quelque sorte le porte-parole des idées de l'auteur, V. Hugo a voulu inviter les juges à ne pas condamner à mort à la légère et surtout il a voulu contribuer à la future abolition de la peine capitale : "Le Dernier Jour d'un Condamné n'est autre chose qu'un plaidoyer pour l'abolition de la peine de mort. Ce qu'il(l'auteur) a eu dessein de faire ce n'est pas la défense spéciale de tel ou tel criminel choisi, c'est la plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir. Ce livre est adressé à quiconque juge. plaider la cause d'un condamné quelconque, exécuté un jour quelconque pour un crime quelconque. Un jour... le lendemain de l'éxécution de d'Ulbach, il se mit à écrire ce livre.... il n'a plus senti sur son front cette goutte de sang qui rejaillit de la Grève sur la tête de tous les membres de la communauté sociale. Toutefois, se laver les mains est bien, empêcher le sang de couler serait mieux. Aussi ne connaîtrait-il pas de but plus élévé que celui-là : contribuer à l'abolition de la peine de mort." En s'adressant aux hommes de lois : "Pas de bourreau si le geôlier suffit.... Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société doit corriger pour améliorer" . Contre la théorie de l'exemple : "Loin d'édifier le peuple, il (le spectacle des supplices) le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité, toute vertu". Enfin il pense à l'âme du condamné (Préface de 1932, où Hugo cite l'oeuvre de Beccaria , Traité des Délits et des Peines ,1766, qui s'est lui-même inspiré de l'oeuvre de Montesquieu, De l'Esprit des Lois).
- Commentaires textes : Écrire
Vocabulaire Utiles
Roman n. m.
On appelle ainsi une oeuvre en prose d'assez bonne longueur (plus long que la nouvelle) qui raconte l'histoire d'un ou plusieurs personnages. Parce qu'il propose un récit, le genre romanesque utilise évidemment principalement le discours narratif. On distingue le roman d'apprentissage, le roman-feuilleton, l'autobiographie, le roman picaresque, le roman réaliste (qui concerne le réalisme ) etc.
Thèse n. f.
On désigne ainsi une prise de position par rapport à un problème, dans un texte argumentatif. C'est en fait ce que l'auteur veut prouver, son point de vue, l'idée qu'il veut défendre, son avis.
Roman à thèse. Roman qui cherche à illustrer une théorie, des idées.
Réquisitoire n. m.
Discours qui dresse la liste des méfaits ou des crimes commis par un individu. Le réquisitoire sert à attaquer, contrairement au plaidoyer, qui permet de défendre.
Hypothèse n. f.
Conjecture, supposition concernant l'explication ou la possibilité d'un événement, supposition. En mathématiques, proposition admise comme donnée d'un problème ou pour la démonstration d'un théorème. La conjonction si peut introduire une hypothèse : si nous étions plus âgés...
Polémique adj. ou n. f.
Nom : Argumentation agressive dirigée contre un adversaire particulier.
Débat violent opposant des idées.
Adj: qui suppose une attitude critique.
Registre polémique : il se manifeste à partir d'un désaccord profond sur un sujet donné, l'auteur combattant des personnes ou des thèses sur un ton violent. On peut y trouver les procédés de l'exagération (hyperboles, superlatifs), des termes dont les connotations sont très négatives ou dévalorisants (péjoratifs), de figures de l'ironie, des critiques etc.
Le roman à thèse
Le roman à thèse est une œuvre d’abord littéraire mais à travers laquelle l’auteur défend une thèse qui a une portée universelle, le roman à thèse est un roman réaliste qui selon Susan Rabin « se signale au lecteur comme porteur d’un renseignement, tendant à démontrer la vérité d’une doctrine politique, philosophique, scientifique ou religieuse. »
Le roman à thèse propose des valeurs qui existent indépendamment du texte romanesque et qui lui servent des références intellectuelle et idéologique. Le roman à thèse impose au lecteur une thèse à laquelle il doit adhérer et des arguments qui justifient la position de l’auteur.
On peut aussi considérer le dernier jour d’un condamné comme un roman autobiographique ou un journal intime.
thème de la mort; traite de l'impuissance de l'être humain devant un destin qui le frappe
soudain. Il suscite une émotion née de la conviction qu'il n'existe plus d'issue. Il exprime le pessimisme, la marche inéluctable d'un destin fatal qui vour l'homme à la mort.
Registre pathétique
thème de la souffrance et de la douleur; pathétique signifie "souffrir avec ". Le ton inspire la
pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines.
parallélisme
Le parallélisme est une figure de rhétorique qui consiste à juxtaposer ou à coordonner deux phrases ou membres de phrase (en poésie, parfois, deux vers) ayant une structure identique. Le parallélisme est souvent fondé sur une antithèse. La figure correspond à : A B, A' B'
journal intime
Un journal intime est un écrit dans lequel quelqu'un manifeste un souci quotidien de son âme, considère que le salut ou l'amélioration de son âme se fait au jour le jour, est soumis à la succession, à la répétition des jours, source de permanence et de variation
Vocabulaire de l'argumentation.
ARGUMENT : c'est une idée qui s'intègre à un raisonnement ; l'argumentation s'appuie sur une dé marche logique et explicite.
CHAMP LEXICAL : ensemble des mots, substantifs, adjectifs, verbes de la même famille désignant une même part de réalité, une même notion.
CHAMP SÉMANTIQUE: ensemble des sens disponibles d'un mot selon le contexte.
CONNECTEUR LOGIQUE : outil grammatical qui exprime une relation logique (cause, conséquence, opposition, concession…).
CONNOTATIONS : ce sont les significations secondaires associées, de façon permanente, à la signification principale (ou dénotation) d'un mot dans un contexte donné ; elles reflètent les sentiments, les intentions du locuteur.
DÉNOTATION : c'est le ou les sens d'un mot que l'on peut trouver dans le dictionnaire.
DESTINATAIRE : c'est la (les) personne(s) à qui s'adresse le locuteur (il est lié à la 2ème personne du singulier ou du pluriel, et à la 1ère du pluriel si le locuteur l'associe à ses propos).
LOCUTEUR : c'est celui qui énonce un message (il s'exprime à la 1ère personne du singulier) ; il manifeste sa présence par des indices d'énonciation (il ne s'agit pas toujours de l'auteur, ce peut être un de ses personnages).
DISCOURS : c'est tout énoncé, écrit ou oral, dans lequel l'émetteur de l'énoncé multiplie les références à l'acte d'énonciation (identité des interlocuteurs, lieu et moment de l'énonciation, attitude des interlocuteurs…) pour entrer ou rester en contact.
RÉCIT : c'est tout énoncé, écrit ou oral, dans lequel l'émetteur de l'énoncé ou les marques de l'acte d'énonciation sont délibérément absentes. Le récit a pour fonction de raconter, de narrer.
DISCUTER UNE THÈSE : c'est réfléchir à la valeur d'une opinion en pesant le pour et le contre.
ÉLOGE : ce sont des paroles ou un écrit à la louange de quelqu'un ou de quelque chose.
INDICES D'ÉNONCIATION : ce sont les marques de personne (pronoms personnels, indéfinis, pro noms et adjectifs possessifs…), des repères temporels (temps des verbes, adverbes de temps), des indications sur le lieu (adverbes de lieu) ; ils reflètent la présence et la position du locuteur. On les appelle aussi embrayeurs.
EMBRAYEURS : ce sont les mots dont le référent dépend de la situation d'énonciation, comme les pronoms "je" et "tu" (ou "nous" et "vous") qui désignent l'émetteur et le récepteur du propos, les adjectifs démonstratifs et possessifs qui y renvoient, les adverbes de lieu ("ici" et "là"), les adverbes de temps ("maintenant", "aujourd'hui" ou "hier")…
ÉNONCIATION : c'est l'acte de production d'un énoncé par un locuteur qui présente des traces de son énonciation, et peut mettre en scène, de façon plus ou moins précise, le locuteur, sa pensée ou le sujet de l'énonciation.
ÉNONCÉ : c'est ce qui est dit ou écrit ; il s'actualise sous la forme d'un discours ou d'un récit.
ÉTAYER UNE THÈSE : c'est renforcer une thèse par des arguments et des exemples supplémentaires.
EXEMPLE : c'est un fait analogue au fait en question dans un propos qui est considéré par rapport à lui ; il sert à illustrer, prouver, éclairer.
EXPLICITE : c'est ce qui est énoncé complètement et ne peut prêter à aucune contestation.
IMPLICITE : c'est un sous-entendu qui s'adresse à la sensibilité, à l'imagination, au raisonnement du destinataire.
PRÉSUPPOSITION : c'est un message suggéré uniquement au raisonnement du destinataire.
SOUS-ENTENDU : c'est faire comprendre quelque chose de façon indirecte, en s'appuyant sur des éléments qui restent non-dit mais compris.
EXPRESSION APPRÉCIATIVE : elle exprime le jugement favorable du locuteur ; le lexique est alors élogieux, valorisant, mélioratif.
EXPRESSION DÉPRÉCIATIVE : elle connote la critique, le dédain et parfois le dégoût ; le lexique est souvent péjoratif.
FIGURES DE STYLE : c'est l'ensemble de procédés et de techniques permettant de s'exprimer correctement et avec éloquence ; les tournures de style rendent plus vive l'expression de la pensée.
RHÉTORIQUE : c'est la discipline qui autrefois enseignait l'art oratoire et littéraire, ce sont les moyens par lesquels on entend donner plus d'efficacité à un discours, oral ou écrit.
INTENTIONS DU LOCUTEUR : c'est le but que se fixe le locuteur pour son argumentation ; il peut s'agir de persuader, convaincre, émouvoir, séduire, provoquer, démontrer
MODALISATIONS : ce sont les marques de jugement ou de sentiment du locuteur.
MODALISATEURS : ce sont les mots et les procédés grammaticaux qui traduisent l'attitude d'un locuteur par rapport à son énoncé, c'est-à-dire le doute, la certitude, la critique...).
MODALITÉ : c'est le synonyme de "forme". ex : les modalités de phrases sont les formes déclarative, interrogative, exclamative, impérative.
NATURE DU RAISONNEMENT : il peut être déductif, inductif, par l'absurde, etc
PAMPHLET : c'est un écrit satirique d'actualité, court et violent, dirigé contre une personnalité connue ou contre une institution.
PARATEXTE : c'est l'ensemble des indices "à côté" du texte qui permettent d'en connaître davantage sur lui (nom de l'auteur, siècle,typographie, titre...)
PLAIDOYER : discours oral ou écrit qui défend, avec vigueur et éloquence, une opinion ou un parti-pris. (son contraire : réquisitoire)
PROGRESSION DU L'ARGUMENTATION : c'est la manière de développer les arguments ; elle peut être linéaire, éclatée ou à thème constant.
RÉFUTER UNE THÈSE : c'est s'opposer à une argumentation en prouvant sa fausseté.
REGISTRE DE LANGUE : c'est la manière de s'exprimer qui reflète la culture, le milieu social du locuteur ; il peut être familier, courant ou soutenu.
RELATION (LIEN) LOGIQUE : c'est un enchaînements d'une idée à l'autre (souvent des adverbes, des locutions adverbiales, conjonction de subordination et de coordination) ; elle peut être explicite ou implicite. Elle peut exprimer la cause, la conséquence...
SYNTAXE : c'est la partie de la grammaire qui décrit les règles par lesquelles les unités linguistiques se combinent en phrases ; ensemble des règles d'écriture d'un langage.
THÈME : c'est ce dont il est question principalement dans l'énoncé.
THÈSE : c'est la position du locuteur à l'égard du sujet, du thème qu'il évoque.
TONALITÉ : ensemble des éléments qui traduisent les sentiments, les intentions, la sensibilité du locuteur dans sa manière de traiter un sujet ; elle peut être ironique, pathétique, didactique, satirique, polémique, oratoire
Tableau d’équivalence des connecteurs logiques
Relation
|
Connecteurs logiques
|
||
Addition
|
Et De plus |
Puis En outre |
Non seulement... mais encore |
Alternative
|
Ou Soit… soit Soit… ou |
Tantôt… tantôt Ou… ou Ou bien |
Seulement… mais encore L’un… l’autre D’un côté… de l’autre |
But
|
Afin que Pour que |
De peur que En vue de |
De façon à ce que |
Cause
|
Car En effet Effectivement Comme Par Parce que |
Puisque Attendu que Vu que Etant donné que Grâce à Par suite de |
Eu égard à En raison de Du fait que Dans la mesure où Sous prétexte que |
Comparaison
|
Comme De même que Ainsi que Autant que Aussi… que |
Si… que De la même façon que Semblablement Pareillement Plus que |
Moins que Non moins que Selon que Suivant que Comme si |
Concession
|
Malgré En dépit de Quoique Bien que Alors que |
Quelque soit Même si Ce n’est pas que Certes Bien sûr |
Évidemment Il est vrai que Toutefois |
Conclusion
|
En conclusion Pour conclure En guise de conclusion En somme Bref |
Ainsi Donc En résumé En un mot Par conséquent |
Finalement Enfin En définitive |
Condition, supposition
|
Si Au cas où A condition que Pourvu que A moins que |
En admettant que Pour peu que A supposer que En supposant que Dans l’hypothèse où |
Dans le cas où Probablement Sans doute Apparemment |
Conséquence
|
Donc Aussi Partant Alors Ainsi Par conséquent |
si bien que D’où En conséquence Conséquemment Par suite C’est pourquoi |
De sorte que En sorte que De façon que De manière que Si bien que Tant et |
Classification,
énumération |
D’abord Tout d’abord En premier lieu Premièrement |
En deuxième lieu Deuxièmement Après Ensuite De plus Quant à |
En troisième lieu Puis En dernier lieu Pour conclure Enfin |
Explication
|
Savoir A savoir |
C’est-à-dire Soit |
|
Illustration
|
Par exemple Comme Ainsi |
C’est ainsi que C’est le cas de Notamment |
Entre autre En particulier |
Justification
|
Car C’est-à-dire En effet Parce que |
Puisque En sorte que Ainsi C’est ainsi que |
Non seulement… mais encore Du fait de |
Liaison
|
Alors Ainsi Aussi D’ailleurs |
En fait En effet De surcroît De même |
Également Puis Ensuite |
Opposition
|
Mais Cependant Or En revanche Alors que |
Pourtant Par contre Tandis que Néanmoins Au contraire |
Pour sa part D’un autre côté En dépit de Malgré Au lieu de |
Restriction
|
Cependant Toutefois Néanmoins Pourtant Mis à part |
Ne… que En dehors de Hormis A défaut de Excepté |
Sauf Uniquement Simplement |
Temps
|
Quand Lorsque Comme Avant que |
Après que Alors que Dès lors que Tandis que |
Depuis que En même temps que Pendant que Au moment où |
Lire les commentaires textes
merci mon frere
merci bcp. cela ns servira bcp a la revision pour notre exam blanc.
c du tres bon travail.